L'EAU PARFAITE SELON LA BEV
SELON L'ASSOCIATION ABE
Selon l’Association ABE, promoteur naturel de la bioélectronique, « L’application de la Bio-Electronique met en évidence un aspect dynamique de l’élément eau qui n’est pas pris en compte par l’analyse classique : l’eau est jugée à état statique, sur des critères chimiques, qui ne traduisent pas ses facultés d’adaptation aux variations du milieu vivant.
L’eau possède en réalité une individualité biologique liée à trois facteurs distincts :
- La nature du milieu dans lequel elle circule, donc facteur chimique.
- La vitesse d’écoulement dans le milieu en question, donc facteur cinétique.
- La température, donc facteur thermique.
L’eau dans l’organisme existe en outre sous deux formes différentes :
- L’eau liée, intégrée aux structures moléculaires.
- L’eau libre ou circulante (sang, lymphe), assurant à la fois l’apport nutritif aux rouages mêmes de la vie et l’élimination des inévitables déchets (urine, sueur).
Eau libre et eau liée différent par leurs potentiels respectifs tout comme différent dans la nature les eaux vives et les eaux stagnantes, ceci constituant une bipolarité de la matière et assurant un équilibre morphopsychologie oscillant, qui conditionne lui-même l’état de santé. » Il a ainsi été démontré que, dans un cours d’eau naturel tel qu’une rivière, l’eau avait la capacité de s’auto-nettoyer sur quelques kilomètres seulement.
SELON ROGER CASTELL
Selon Roger CASTELL, « La bioélectronique se fonde sur l’étude des charges magnétiques positives des protons et des charges négatives des électrons. Elle s’intéresse donc à la composition physique et atomique de la matière vivante et aux interactions électromagnétiques. Elle se situe bien au-delà de la composition moléculaire généralement utilisées en biologie. Elle permet donc d’élargir et de mieux comprendre tous les phénomènes liés à la vie. »
Pour les adeptes de cette discipline, et notamment le professeur Joseph ORSZÀGH, l’eau biocompatible « parfaite » devrait avoir les caractéristiques bioélectroniques suivantes:
- légèrement acide (pH compris entre 5,5 et 6,8)
- aussi peu minéralisée que possible (résidu sec inférieur à 50 milligrammes par litre, tout en n’étant pas totalement vide afin d’être en mesure de structurer l’eau.)
- eau antioxydante, neutre ou légèrement réductrice (rH2 compris entre 25 et 28)
- résistivité supérieure à 6 000 ohms (mais inférieure à 50 000 ohms, aucune eau naturelle n’étant aussi pure)
Comme le précise le livre de Roger CASTELL « très peu d’eau en France répondent à ces critères! » Idem en Suisse ou en Europe. La raison pour laquelle les pouvoirs publics ne font pas la promotion de la bioélectronique ? Les traitements chimiques favorisent en effet l’alcalose et l’oxydation.
Qu'est-ce que le pH ?
Le pH ou Potentiel Hydrogène mesure la capacité énergétique d’un milieu (sa charge en proton (H+) et son caractère acide ou alcalin. L’échelle varie de 0 à 14 avec une neutralité à 7. Une solution avec un pH inférieur à 7 est acide (riche en protons H+ et création d’un champ magnétique positif) tandis qu’il est basique ou alcalin si supérieur à 7 (pauvre en protons H+ et champ magnétique négatif). Une baisse d’un point de pH signifie qu’il y a 10 fois plus d’ions H+ et inversement. L’acide gastrique a un pH de 2, le jus de citron de 2,1, le coca cola de 2,5, le vinaigre de 2,5-2,9, le jus d’orange de 3,2, la bière de 4,5, le café de 5, le thé de 5,5, le lait de 6,5, l’eau douce de 6,5, l’eau pure de 7, l’eau calcaire de 7,5, la salive humaine de 6,5-7,4 selon l’état de santé, le sang de santé de 7,1 à 7,2 (de 38 à 48 milliards de protons / mm3), le sang cancéreux de 7,8 à 8,5 (plus que 1,9 milliards de protons / mm3), l’eau de mer de 8, le savon de 9 à 10, l’eau de javel de 12, et la chaux de 12,5 et la soude caustique de 13 à 15.
Qu'est-ce que le RH2 ?
Le rH2 ou facteur d’oxydoréduction ou facteur électrique mesure le taux en électrons d’un milieu et sa capacité régulatrice. L’échelle varie de 0 à 42 avec une « neutralité redox » à 28, correspondante à l’eau chimiquement pure. Une solution avec un rH2 inférieur à 28 est réductrice (riche en électrons qu’elle cèdera) tandis qu’elle est oxydante entre 28 et 42 (pauvre en électrons qu’elle captera). Or, selon Jacques COLLIN, « L’absence d’électrons c’est la mort thermodynamique de la machine humaine qui ne peut plus métaboliser les nutriments […] Pour métaboliser le sucre, l’organisme doit fournir deux électrons par molécule.« « La base de la vie se nourrit d’électronégativité! » […] « il y a donc lieu de rechercher la richesse électronique de l’eau« Une telle eau apportera ainsi des électrons au lieu de les prendre. Les graines germées ont un rH2 de 4, une salade bio de 12, un jus d’orange de 17, l’eau du robinet de 34 (en moyenne mais parfois beaucoup plus!), l’eau de javel de 40. Le sang d’une personne en bonne santé aura un rH2 de 21-22 (10 millions d’électrons / gramme) tandis qu’une personne atteinte de cancer aura une mesure de 28 (plus que 1 électron/g!)
Qu'est-ce que la résistivité (rô ou rho)
La résistivité (symbole ρ) ou facteur diélectrique est le contraire de la conductivité et représente la capacité d’un milieu à ralentir le passage d’un courant électrique. La résistivité est exprimée en ohms (Ω). La conductivité est exprimée en Siemens par mètre (S/m). Une résistivité basse (conductivité élevée) traduit une forte concentration moléculaire et donc, au niveau de l’eau, une forte concentration en minéraux. Une résistivité élevée traduit une faible concentration en minéraux et une bonne résistance aux inductions électromagnétiques et cosmiques. La raison de l’hypersensibilité de certaines personnes aux ondes électromagnétiques ? Le rô sera donc directement lié à la mesure des résidus à sec exprimés en mg / litre. Un sang en bonne santé a un rô de 210 Ω.cm. Un sang de cancéreux un rô de 140 Ω.cm.
SELON LOUIS-CLAUDE VINCENT
Ces trois mesures donnent en effet un instantané de l’état de santé et de vitalité des substances testées.
Amis cartésiens, bonjour! « Avec la bioélectronique, on aboutit à une médecine de diagnostic et de thérapeutique devenant rigoureusement scientifique […] C’est à la source même de la vie et à son maintien en équilibre que s’adresse la bioélectronique, avec une sûreté et une instantanéité totales, conduisant à une maîtrise absolue, en vue, à la fois de la guérison et de la prévention » écrivait Louis-Claude Vincent en 1969 dans son livre Le paradis perdu de Mu.
Nous vous épargnons ici les formules mathématiques du potentiel redox (E) reliant le pH au rH2 et de la quantification énergétique de Vincent (W), mis au point par Vincent et affinés par le Professeur Joseph ORSZÀGH (définition scientifique des paramètres BEV) et qui permettent – rien que cela! – de déterminer l’âge bio-électromagnétique d’un individu via les mesures du sang, de la salive et de l’urine.
Arrêtons nous plutôt sur le Bio-électronigramme des eaux selon Louis-Claude Vincent dont voici deux exemples :
Ce terrain est celui de la vie et de la santé, la zone des forces vitales, riche en protons et en électrons. Les Anciens appelaient « asclepia acida » cette approche des soins à base d’aliments acides et réducteurs, donneuse et riche d’électrons. « C’est le lieu des eaux potables de qualité et des eaux thermales à la source. On y trouve aussi les ferments, produits lactofermentés, enzymes et vitamines naturelles » précise Richard Haas, ainsi que le vin, les graines germées, les jus et fruits frais de l’agriculture biologique ou encore le pain complet au levain, bref, les aliments les plus vitalisant pour l’organisme!
Il s’agit d’une zone des forces de conservation, comporte beaucoup de protons mais peu d’électrons. Selon Richard HAAS, bioélectricien, « C’est le milieu favorable aux champignons, mycoses, lichens de l’aigre et celui des antibiotiques. Les aliments non vitaux se situent dans cette zone, comme les produits alimentaires cuits, industriels, de conservation (stérilisation), les fast-foods. Il n’existe aucune eau naturelle sur ce terrain.«
Il s’agit d’une zone des forces de dégradation de la vie, comporte peu de protons et peu d’électrons. Selon Richard HAAS, c’est le « terrain de l’homme moderne« , un milieu favorable aux virus, aux maladies de civilisation, au sucré et aux vaccins. On y retrouve l’eau du robinet traitée et stérilisée (chlore-ozone). « Il y a 40 ans, le Dr BOYER, de la Faculté de médecine, parlait déjà « d’une eau de canalisation, et non plus d’eau potable, ne pouvant être consommée, à la longue, sans inconvénient pour la santé » rappelle Patrice STEGMANN. « Nous avons tué le microbe, mais nous avons réveillé en même temps le virus et cela est mille fois plus grave » dénonce Richard HAAS. « Les mesures bioélectroniques montrent que les coordonnées du sang des cancéreux au dernier stade de développement de la maladie, sont identiques à celle d’une eau de ville désinfectée au chlore » précise le site de référence www.eautarcie.org
Il s’agit d’une zone des forces de destruction, comporte peu de protons et beaucoup d’électrons. « C’est le milieu favorable aux maladies infectieuses à microbes pathogènes, à la putréfaction, au salé et aux algues brunes. » précise Richard HAAS. C’est également dans cette zone que se situe les eaux ionisées de type Eau Kangen.
Dans le second Bioélectronigramme plus complet, l’ovale indique les limites de la vie humaine, via la mesure BEV du sang veineux: pH de 6,2 à 9,4; rH2 de 15 à 35 et rô de 80 à 400. On y trouve une zone de « Santé Parfaite » (SP) et un terrain propice aux cancers, dans le terrain 3, basique et oxydé.
L’eau « parfaite » selon la BEV se situe donc sur le premier terrain. Nous pourrions simplifier en disant qu’il s’agit d’une eau de source faiblement minéralisée et légèrement acide (toutes ne le sont pas) récoltée à la source et donc bien vivante !
Terrain acide ou alcalin ?
On entend parfois que l’acidité est le terrain de l’homme moderne, responsable des cancers. C’est notamment l’argument phare des vendeurs de l’eau ionisée fortement alcaline de style Kangen.
C’est confondre alcalin et alcalinisant et oublier l’effet tampon de l’organisme qui vise à réguler tout excès.
La Bioélectronique de Vincent nous précise en outre que les maladies de civilisation sont plutôt le fait d’un milieu trop alcalin. « La vie ne peut se créer qu’en milieu légèrement acide (et réducteur). Plus notre état est alcalin, plus il est perméable aux maladies. » écrit Richard Haas. De fait, seul un milieu acide garantie la présence suffisante de protons. Le pH sanguin d’un homme en bonne santé est de 7,2. Celui d’un homme atteint de cancer de 7,8 c’est-à-dire plus alcalin!
Enfin, si boire une eau alcaline était bon pour la santé, nous serions tous plutôt en bonne santé puisque l’eau du robinet est toujours alcaline, une eau acide étant corrosive pour les canalisations Les sociétés distributrices ont ainsi tendance à augmenter le pH de leur eau pour protéger leur tuyauterie, sans grande considération malheureusement pour la vitalité humaine…
Source : www.lemieuxetre.ch/eau/frame_eau_types_parfaite